La colonne de feu (Ex 13, 17-22)

Au long de sa marche dans le désert, le peuple d’Israël a expérimenté la présence du Seigneur : il est celui qui, après avoir libéré son peuple de l’oppression du Pharaon, le guide et le conduit par des routes sûres. Prenons notre place au sein de ce peuple en marche.

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3 commentaires

  • sterlin francoise

    Seigneur je reçois la force de ce texte ds le contexte actuel de l Eglise comme une immense grâce

  • élie somot c-3d.fr

    S’ouvrir à la liberté des enfants de Dieu

    Seigneur, tu entends notre désir de liberté. Il est au creux même de notre être tel que Tu engendres toute humanité.
    Mais, aussi, en Père patient et miséricordieux, tu as connaissance de notre intimité… De notre désir profond que tu as déposé au coeur de nous même mais aussi de notre capacité à céder à nos angoisses, à nous laisser aspirer par des voix “mortifères”, quitte à retourner sous le joug du pharaon ou d’autres puissances qui assujettissent.
    Cependant ta patience, mon Dieu est inébranlable. Ton désir de nous instituer comme disciple demeure… Mais Tu ne t’imposes pas. Tu restes disponible et tu réponds à ceux qui s’imprègnent de Toi, en plénitude, comme source de vie unique… Joseph, Moïse te permettent d’agir auprès du peuple… Tu demeures attentif à ton dessein de nous instaurer adultes, en vis-à-vis.
    Ce chemin du désert est à notre portée, structurant pour nous faire grandir. Vivre l’épreuve pour nous solidifier, nous émonder, nous ajuster à Toi dans un vis-à-vis, dans un compagnonnage au service du peuple en marche…
    Et je te bénis Seigneur car tu m’as saisi alors que j’étais un “tout petit” inconscient de tout ou presque… Tu as mis sur ma route une compagne déjà établie en Toi… Celle-ci est devenue mon épouse qui m’empêche de me perdre… J’ai appris peu à peu à m’ouvrir à Toi, à me laisser façonner, émerger, nourrir à la becquée…
    Dans ce passage de l’Exode, j’ai découvert ce peuple, “Les fils d’Israël” rangés comme une armée… derrière.. les ossements de Joseph qui font mémoire du compagnonnage dans la suite des générations, construisant l’unité…
    En confiance, Joseph disparaît laissant la place à Moïse… Puis, lui-même, il ouvre le peuple au Maître de toute chose qui nous établit en liberté, qui nous structure, qui nous appelle à son image et ressemblance…
    A qui puis-je me fier ? A Dieu… seul… A l’homme aussi, mais pour une part, dans cette part qui est établie en Toi… tout en restant vigilant… L’humain n’est pas Dieu… Même s’il grandit en Toi, il conserve sa part d’ombre plus ou moins grande… D’où cette vigilance à ne jamais se laisser “déifier” soi-même ni l’autre même s’il nous veut du bien.
    D’ailleurs les humains “spirituels” demeurent dans l’humilité. Ils se savent conduits. Dans leur service au nom de Ta présence, ils nous envoient à Dieu. Ils ne prennent pas Ta place…
    Marcher jour et nuit ! Certes ! Mais nous en sommes loin. Nous n’avons pas la permanence de Dieu… Dieu, lui-même, dans sa relation à l’humanité, apprend en marchant…
    Et moi, j’apprends laborieusement, comme le peuple des Israélites, à mettre un pas devant l’autre. Je reste encore un petit enfant, manquant de persévérance, faisant des impasses… Mais je sais mon Dieu… Fidèle, me connaissant à l’intime de moi-même, attentif à me faire grandir…

  • MOYON

    Toi le Dieu Tout Puissant, tu te mets à la portée de chacune de nos vies
    Ce peuple en qui tu voues tout ton amour, tu lui épargne les dangers,
    tu le conduis jour et nuit, et quand nos vies deviennent ténébreuses, tu es
    toujours là, devant nous, pour nous éclairer afin que nous tombions pas dans les pièges que la vie nous réserve parfois.
    Merci Seigneur pour ton attention particulière
    tu te penches sur ma vie
    Seigneur Tu es toute tendresse
    Seigneur Tu es mon guide, ma lumière
    je rejoins la parole de la petite Thérèse : ” ne nous lassons pas de prier, la confiance fait des miracles” nous sommes invités en ce carême à l’appel des évêques d’Irak et de Syrie à prier pour ces peuples martyrs par la guerre,
    à prier pour les chrétiens, pour tous les civils
    O Seigneur, que ta Paix advienne,
    envoie devant ce peuple comme tu l’as fait avec Moise,
    des hommes de réconciliation, pour qu’enfin la Paix advienne
    Seigneur écoute nos prières,
    n’abandonne pas ces peuples
    je t’en supplie.

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