Comment bien débuter ? Comment partir d’un bon pied que nous soyons lundi matin, un premier de l’an, ou dans les premiers jours de septembre ?
Voici quelques pistes pour confier au Seigneur cette période qui se présente à moi et lui demander son aide au cœur de mon quotidien.
1. Je regarde une première puis une deuxième fois :
Dans quels sentiments me met cette vidéo ? Joie, indifférence, frustration, enthousiasme… ?
Je prends le temps de recevoir ces émotions et de les nommer.
2. Une troisième fois, je la lance en choisissant de n’écouter que la musique
Quelques pistes de méditation :
1. Un objectif
Tous ces athlètes se sont préparés de longs mois avec un objectif clairement déterminé. Ils savent qu’il est à leur portée, tout en étant difficile.
Et moi, vers quel “objectif” souhaiterais-je avancer durant cette semaine, ce mois, cette période, cette année… ? Quel est mon désir le plus profond ? (Il doit être réalisable, même s’il ne dépend pas entièrement de moi.)
Je confie ce désir au Seigneur.
2. Un soutien
Les grands sportifs ne sont jamais seuls : toute une équipe les soutient et les aide dans leur préparation physique et mentale afin d’atteindre leur objectif.
Je nomme les aides très concrètes qui pourront me soutenir dans la poursuite de mon désir (personnes, activités, rythme ou équilibre de vie, toute chose qui pourra m’aider, et que je pourrai ajuster si besoin.)
3. Un entraînement
Chaque athlète sait qu’il a des aptitudes à développer, mais aussi des points faibles qu’il doit s’efforcer de corriger.
Quels sont les points forts sur lesquels je peux m’appuyer ? et j’en remercie le Seigneur.
Quels sont au contraire les points faibles sur lesquels je peux faire porter mes efforts et ma vigilance ? et je demande au Seigneur de m’aider sur ce chemin de croissance.
J’ai souvent l’impression d’être seul, seul avec mes craintes, seul à faire face aux difficultés, seul à tenter de surmonter les obstacles, peut être même seul dans ma prière… Mais sans le voir, il y a autour de moi, une foule de gens qui m’entourent, qui m’accompagnent et qui me permettent de passer les obstacles, de dépasser les lignes d’arrivées et il y a toi SEIGNEUR, qui est la, toujours, même si je n’en suis pas conscient. MERCI
C’est toujours très “remuant” pour moi cette sensation de clin Dieu… Alors qu’une nouvelle année de catéchèse se présente, alors que je me sens encore moins légitime dans mon rôle… ce moment d’intériorité qui me surprend ici… ces athlètes qui se concentrent et anticipent mentalement leurs efforts, les instruments qui dans une dissonance toute feinte s’accordent pour mieux faire naître l’harmonie… merci Seigneur. Je vais tâcher de m’en souvenir pendant mes rencontres avec les enfants, avec l’équipe des catéchistes, avec les prêtres. Etre prête moi, avec les autres. Grâce à Dieu et à la grâce de Dieu.